Interculturalité

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (3/3)

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (3/3)

Les lieux d’accueil des migrant·es, et notamment les associations où l’on donne des cours d’alphabétisation, sont le terrain d’étude que Jérémie Piolat a choisi pour sa recherche anthropologique actuelle. Loin des clichés condescendants sur les personnes étrangères, il questionne les imaginaires de femmes migrantes lors d’ateliers d’écriture. (3/3)

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (2/3)

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (2/3)

Les lieux d’accueil des migrant·es, et notamment les associations où l’on donne des cours d’alphabétisation, sont le terrain d’étude que Jérémie Piolat a choisi pour sa recherche anthropologique actuelle. Loin des clichés condescendants sur les personnes étrangères, il questionne les imaginaires de femmes migrantes lors d’ateliers d’écriture. (2/3)

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (1/3)

Un terrain d’étude privilégié pour questionner la décolonisation et décolonialisation des savoirs : Le milieu de « l’alphabétisation » des migrants. (1/3)

Les lieux d’accueil des migrant·es, et notamment les associations où l’on donne des cours d’alphabétisation, sont le terrain d’étude que Jérémie Piolat a choisi pour sa recherche anthropologique actuelle. Loin des clichés condescendants sur les personnes étrangères, il questionne les imaginaires de femmes migrantes lors d’ateliers d’écriture. (1/3)

Donner du sens à l’engagement – Expérience d’un marrainage avec des femmes demandeuses d’asile

Donner du sens à l’engagement – Expérience d’un marrainage avec des femmes demandeuses d’asile

La problématique migratoire fait naître des situations multiples d’interculturalité. Les rencontres sont diverses, variées et uniques. Celle qui va nous intéresser ici s’inscrit dans le projet « marrainage » co-organisé par la FUCID et le centre d’accueil Pierre Bleue d’Yvoir.

La peur de l’étranger

La peur de l’étranger

Accepter d’être dérangé n’est pas chose aisée, car cela demande véritablement un effort sur soi pour vaincre autant ses propres appréhensions que la peur de l’étranger. Qui n’a pas, dans sa vie, expérimenté la peur de l’étranger, même furtivement ?

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