L’écriture de cet article commence dans un avion. Un “avion énervé” par deux heures de file à l’aéroport. Une dame hurle : « mais Monsieur, pour qui vous prenez vous ? » Cet événement isolé ne pourra pas être qualifié de toxique. Une relation devient toxique lorsque l’un des protagonistes se trouve sous pression de façon presque constante en présence d’une autre personne.
Chantal Vander Vorst a identifié et décrit trois formes de toxicité :
- La toxicité relationnelle dont on parle le plus dans les médias et qui affecte la relation elle-même.
- La toxicité systémique dont on parle extrêmement peu et qui met en lumière l’impact de la façon dont on conçoit la structure organisationnelle.
- La toxicité individuelle dans laquelle nous devenons notre propre bourreau. Largement méconnue, elle fait pourtant actuellement des ravages dans le monde professionnel.
Ces trois formes de toxicité sont bien entendu liées, et mènent à des stress intenses et des baisses de performance importantes. Il y a également un lien évident entre la toxicité et notre fonctionnement cérébral.
Réflexion : la toxicité fait partie de la nature, et y faire face permet de se dépasser, de se connaître mieux encore et bien souvent de prendre un nouveau chemin. Analyser la situation et s’outiller pour sortir du mode automatique peut contribuer à s’armer contre la toxicité humaine. Lisez : Stimulation de l’intelligence adaptative : comment résister aux automatismes ?
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