Selon une étude de BePax [1], en Belgique, si beaucoup de personnes récemment diplômées du secondaire parviennent à situer la colonisation de manière générale, beaucoup ne connaissent peu ou pas le contexte belge. Dans ces conditions, comment avoir conscience des traces coloniales stigmatisantes (dans les noms de rues, les monuments, ou encore un vieux Tintin) ou de certaines formes de racisme institutionnel et/ou ordinaire ? Pourtant, la plupart des élèves interrogé·es veulent en savoir plus !
[1] Romain LANDMETERS, « L’histoire de la colonisation belge à l’école », BePax, 2017.
[2] Idem.
[3] Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, « Déclaration aux médias du Groupe de travail d’experts des Nations Unies sur les personnes d’ascendance Africaine sur les conclusions de sa visite officielle en Belgique du 4 au 11 février 2019 ».
[4] Sarah DEMART et al., « Des citoyens aux racines africaines : un portrait des Belgo-Congolais, Belgo-Rwandais et Belgo-Burundais », Bruxelles, Fondation Roi Baudouin, 2017
[5] Idem.
[6] Idem.
[1] Romain LANDMETERS, « L’histoire de la colonisation belge à l’école », BePax, 2017.
[2] Idem.
[3] Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, « Déclaration aux médias du Groupe de travail d’experts des Nations Unies sur les personnes d’ascendance Africaine sur les conclusions de sa visite officielle en Belgique du 4 au 11 février 2019 ».
[4] Sarah DEMART et al., « Des citoyens aux racines africaines : un portrait des Belgo-Congolais, Belgo-Rwandais et Belgo-Burundais », Bruxelles, Fondation Roi Baudouin, 2017
[5] Idem.
[6] Idem.
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