Lorsque ma grand-mère disait de quelqu’un en wallon : « C’ est on djinti » [c’est un gentil] suivi d’un rire entendu ; on savait bien qu’elle voulait dire que c’était quelqu’un de naïf, un doux-dingue pas très réfléchi, quelqu’un de facilement manipulable. Par extension, être gentil dans notre monde qui prône la compétition, la concurrence et la conquête (des marchés, par exemple), c’est être tout simplement un idiot à plumer. Et si être gentil était bien plus et bien mieux que cela ? Franck Martin nous présente « Le Pouvoir des Gentils : Les Règles d’Or de la Relation de Confiance ».
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« Le Pouvoir des Gentils : Les Règles d’Or de la Relation de Confiance » de Franck Martin aux éditions Eyrolles