14 : c’est le nombre de fois qu’il nous faut faire une expérience positive pour compenser une seule expérience négative.
Comme vous l’avez certainement déjà vécu, l’expérience négative s’ancre facilement dans nos esprits. C’est une manière de sauver notre peau individuellement lorsque le danger se présente. L’ancrage est tellement fort que, même si objectivement je parviens à rationaliser et me dire que mon traumatisme était de « la faute à pas de chance », mon corps tout entier a enregistré l’information traumatisante et va être réticent. Pour me rendre compte, après avoir dépassé mes résistances, que l’action peut s’avérer sans danger.
Exemple : Vous rappelez-vous la première où vous avez dû parler en public ? Transpiration ? Oubli de ce que vous vouliez dire ? Tentative d’éviter de prendre la parole ? Et maintenant, après de la pratique, peut-être avez-vous pris conscience qu’un public, même si vous pensez dire des bêtises, n’est finalement pas si dangereux.
Mise en pratique
Choisissez une action pour laquelle vous ne vous sentez pas à l’aise. Et pratiquez-la au moins 3 fois. Les premières fois seront plus difficiles et puis l’action gagnera en fluidité…